GDZHIAO : L'innovation spatiale au service des zones humides et des communautés africaines
Dans une vidéo disponible sur le canal YouTube de GMES et l'Afrique, découvrez comment le projet GDZHIAO révolutionne la gestion des zones humides et des inondations en Afrique de l’Ouest. À travers des témoignages inspirants et des actions concrètes, cette initiative montre l’impact de l’observation de la Terre pour un développement durable. Regardez et plongez dans les détails grâce à la transcription complète
Le Dr. Cheik Mbow, Directeur du Centre de Suivi Écologique du Sénégal : « Les zones humides au Sénégal et en Afrique de l’Ouest sont des sites d'une importance capitale pour le développement économique et social. Une zone humide est par excellence une zone qui concentre des ressources naturelles et de l'eau douce : ce sont des zones de productivité, mais aussi des zones de conservation. »
M Amadou Lamine Guissé, Secrétaire général du Ministère de l’Environnement, de la Transition Écologique et du Développement Durable : « Les zones humides constituent même une source de revenu pour les communautés environnantes si elles sont bien entretenues et gérées. Cela permet à toutes les communautés qui gravitent autour de mener des activités génératrices de revenus. »
[FR]
https://youtu.be/NQJ7ahXl3uQ
https://youtu.be/NQJ7ahXl3uQ
Ce qu'il faut retenir:
- Avantages des zones humides : Sécurité alimentaire, régulation des inondations, revenus pour les communautés locales.
- Impact du projet GDZHIAO : Sensibilisation, cartographie des zones à risque, utilisation des données spatiales pour répondre aux objectifs de développement durable et des Accords de Paris.
- Innovation et inclusion : Prise en compte du genre avec des clubs pour jeunes filles et opportunités éducatives transformantes.
- Expertise du CSE : Acteur clé reconnu pour la gestion des ressources naturelles et l’appui aux partenaires techniques et financiers.
- Appel au soutien : Remerciement aux bailleurs (UA, UE) et incitation à continuer l'accompagnement pour des résultats durables.
Transcription
En Afrique de l’Ouest, les zones humides présentent beaucoup d'avantages : elles offrent un large éventail de services écosystémiques qui contribuent non seulement à la sécurité alimentaire mais également à la régulation des inondations.
Le Dr. Cheik Mbow, Directeur du Centre de Suivi Écologique du Sénégal : « Les zones humides au Sénégal et en Afrique de l’Ouest sont des sites d'une importance capitale pour le développement économique et social. Une zone humide est par excellence une zone qui concentre des ressources naturelles et de l'eau douce : ce sont des zones de productivité, mais aussi des zones de conservation. »
M Amadou Lamine Guissé, Secrétaire général du Ministère de l’Environnement, de la Transition Écologique et du Développement Durable : « Les zones humides constituent même une source de revenu pour les communautés environnantes si elles sont bien entretenues et gérées. Cela permet à toutes les communautés qui gravitent autour de mener des activités génératrices de revenus. »
Le Dr Amadou Tidiane Ndiaye : « Grâce à GMES, la communauté a pu prendre conscience de l'importance de la réserve de Ronkh, mais aussi et surtout d'essayer de la gérer et de la sécuriser en prenant en compte tous les aspects liés à l'environnement. ». « D’où l'importance du projet GDZHIAO, mis en place par GMES et l'Afrique, afin d'améliorer les connaissances sur les zones humides ouest-africaines et les risques d'inondation dans une perspective de gestion durable », ajoute-t-il.
Le Professeur Cheik Mbow : « Le projet GDZHIAO est venu avec cet esprit d'ouverture et de consolidation des efforts à tous les niveaux des pays africains, rassemblant des centaines d'institutions pour répondre à des problématiques spécifiques à l'Afrique. ». « Le projet GDZHIAO est l'une des réponses africaines aux problématiques africaines, en utilisant les données spatiales et les informations issues de l'observation de la Terre », précise-t-il.
Dr Amadou Sall, Coordinateur du Projet GDZHIAO : « C'est pour moi l'occasion de magnifier l'excellent partenariat et le travail remarquable effectué par les points focaux des différents pays, qui travaillent autour des six piliers du programme : les données et infrastructures, les services, le cadre politique et institutionnel, le développement du capital humain, les synergies et la gestion des connaissances, ainsi que la sensibilisation et l'adoption. »
Le Lieutenant-Colonel Assane Ndoye, Chef de la Division Zone Humide à la Direction des Parcs Nationaux du Sénégal : « La grande innovation repose sur la prise en compte du genre, avec la formation de clubs pour mieux sensibiliser les jeunes filles, dès l'école, aux matières scientifiques et à la gestion des outils d'observation de la Terre. ». « Cette initiative est très appréciée, notamment par des bénéficiaires de bourses du programme, qui ont vu leur vie changer grâce à cette opportunité », ajoute-t-il.
Le Dr El Hadji Sow, boursier du programme GMES et l'Afrique : « Le programme ZMS Africa a été très bénéfique pour moi : il m'a permis de réaliser ma thèse en trois ans, de 2016 à 2019. J'ai également bénéficié d'un renforcement de capacités, ce qui m'a conduit à être recruté comme enseignant-chercheur au Département de Géographie de l'Université Gaston Berger. ». « Malgré cela, le CSE m'a maintenu comme expert associé pour accompagner la mise en œuvre du projet GDZHIAO », poursuit-il.
La Boursière d’un master GDZHIAO, Halima Idris témoigne : « Ce programme a été très bénéfique pour moi, et je suis reconnaissante pour cette incroyable opportunité. »
M Mohamed Alasse Sylla, Point focal pour la Guinée dit : « Dans le cadre de la mise en œuvre de ce projet, j'étais expert en communication pour la République de Guinée. À travers nos activités sur le terrain, les autorités ont décidé de me nommer directeur de cette institution. ». « Pour faire face à la vulnérabilité des populations africaines aux risques d'inondations, le projet GDZHIAO a proposé une cartographie facilitant la visibilité des besoins des populations en matière de solutions face à ce fléau qui coûte cher à nos États », explique-t-il.
Le Professeur Cheik Mbow : « Les inondations constituent un fléau majeur pour l'Afrique. Depuis 15 ans, l'Afrique de l'Ouest est particulièrement touchée, notamment dans les zones urbaines. ». « L'information scientifique pour caractériser la vulnérabilité des inondations est restée parcellaire et incomplète. Le projet GDZHIAO propose un service basé sur l'observation de la Terre pour répondre aux objectifs de l'Union africaine, de l'Agenda 2063, des objectifs de développement durable et des accords de Paris ». « Le programme GDZHIAO répond aux objectifs de l’Accord de Paris, tout en prenant en compte la complexité des besoins en matière de planification environnementale. Il s’efforce de résoudre ces enjeux à travers les services développés pour la gestion des inondations et des zones humides en Afrique de l’Ouest », conclut-il.
Le Prof Ganye Agbaje, Directeur du CSSTE et Point focal pour le service inondations, souligne : « Les inondations sont très destructrices et affectent profondément les vies et les moyens de subsistance. Elles doivent être prises beaucoup plus au sérieux que nous ne le faisons actuellement. »
Reconnu pour son engagement dans la gestion durable des ressources naturelles et la préservation de l’environnement, le Centre de Suivi Écologique (CSE), leader du consortium GDZHIAO, dispose d’une expertise indéniable.
Le Professeur Cheik Mbow : « Le projet GDZHIAO est venu avec cet esprit d'ouverture et de consolidation des efforts à tous les niveaux des pays africains, rassemblant des centaines d'institutions pour répondre à des problématiques spécifiques à l'Afrique. ». « Le projet GDZHIAO est l'une des réponses africaines aux problématiques africaines, en utilisant les données spatiales et les informations issues de l'observation de la Terre », précise-t-il.
Dr Amadou Sall, Coordinateur du Projet GDZHIAO : « C'est pour moi l'occasion de magnifier l'excellent partenariat et le travail remarquable effectué par les points focaux des différents pays, qui travaillent autour des six piliers du programme : les données et infrastructures, les services, le cadre politique et institutionnel, le développement du capital humain, les synergies et la gestion des connaissances, ainsi que la sensibilisation et l'adoption. »
Le Lieutenant-Colonel Assane Ndoye, Chef de la Division Zone Humide à la Direction des Parcs Nationaux du Sénégal : « La grande innovation repose sur la prise en compte du genre, avec la formation de clubs pour mieux sensibiliser les jeunes filles, dès l'école, aux matières scientifiques et à la gestion des outils d'observation de la Terre. ». « Cette initiative est très appréciée, notamment par des bénéficiaires de bourses du programme, qui ont vu leur vie changer grâce à cette opportunité », ajoute-t-il.
Le Dr El Hadji Sow, boursier du programme GMES et l'Afrique : « Le programme ZMS Africa a été très bénéfique pour moi : il m'a permis de réaliser ma thèse en trois ans, de 2016 à 2019. J'ai également bénéficié d'un renforcement de capacités, ce qui m'a conduit à être recruté comme enseignant-chercheur au Département de Géographie de l'Université Gaston Berger. ». « Malgré cela, le CSE m'a maintenu comme expert associé pour accompagner la mise en œuvre du projet GDZHIAO », poursuit-il.
La Boursière d’un master GDZHIAO, Halima Idris témoigne : « Ce programme a été très bénéfique pour moi, et je suis reconnaissante pour cette incroyable opportunité. »
M Mohamed Alasse Sylla, Point focal pour la Guinée dit : « Dans le cadre de la mise en œuvre de ce projet, j'étais expert en communication pour la République de Guinée. À travers nos activités sur le terrain, les autorités ont décidé de me nommer directeur de cette institution. ». « Pour faire face à la vulnérabilité des populations africaines aux risques d'inondations, le projet GDZHIAO a proposé une cartographie facilitant la visibilité des besoins des populations en matière de solutions face à ce fléau qui coûte cher à nos États », explique-t-il.
Le Professeur Cheik Mbow : « Les inondations constituent un fléau majeur pour l'Afrique. Depuis 15 ans, l'Afrique de l'Ouest est particulièrement touchée, notamment dans les zones urbaines. ». « L'information scientifique pour caractériser la vulnérabilité des inondations est restée parcellaire et incomplète. Le projet GDZHIAO propose un service basé sur l'observation de la Terre pour répondre aux objectifs de l'Union africaine, de l'Agenda 2063, des objectifs de développement durable et des accords de Paris ». « Le programme GDZHIAO répond aux objectifs de l’Accord de Paris, tout en prenant en compte la complexité des besoins en matière de planification environnementale. Il s’efforce de résoudre ces enjeux à travers les services développés pour la gestion des inondations et des zones humides en Afrique de l’Ouest », conclut-il.
Le Prof Ganye Agbaje, Directeur du CSSTE et Point focal pour le service inondations, souligne : « Les inondations sont très destructrices et affectent profondément les vies et les moyens de subsistance. Elles doivent être prises beaucoup plus au sérieux que nous ne le faisons actuellement. »
Reconnu pour son engagement dans la gestion durable des ressources naturelles et la préservation de l’environnement, le Centre de Suivi Écologique (CSE), leader du consortium GDZHIAO, dispose d’une expertise indéniable.
Stéphane Devaux, de la Section Coopération de la Délégation de l’Union européenne au Sénégal, déclare : « Nous avons choisi de collaborer avec le CSE en raison de son expertise et de sa compétence unanimement reconnues depuis plus de 25 ans. Ce centre est un partenaire privilégié de l’administration, mais aussi des partenaires techniques et financiers intervenant dans des domaines tels que la sécurité alimentaire, la nutrition, et les questions environnementales, comme la dégradation des sols liée au changement climatique. Le CSE est donc un acteur incontournable. »
M Amadou Lamine Guissé, Secrétaire Général du Ministère de l’Environnement, de la Transition Écologique et du Développement Durable, ajoute : « Au niveau national, les résultats obtenus par le CSE ne sont plus à démontrer. Ce sont des résultats très importants. À chaque fois, le CSE nous produit un rapport détaillé sur l’état de l’environnement au Sénégal et la situation des ressources naturelles. Grâce à leur intervention et leur technicité en temps réel, nous disposons de toutes les informations nécessaires sur les ressources naturelles. ».
M Amadou Lamine Guissé, Secrétaire Général du Ministère de l’Environnement, de la Transition Écologique et du Développement Durable, ajoute : « Au niveau national, les résultats obtenus par le CSE ne sont plus à démontrer. Ce sont des résultats très importants. À chaque fois, le CSE nous produit un rapport détaillé sur l’état de l’environnement au Sénégal et la situation des ressources naturelles. Grâce à leur intervention et leur technicité en temps réel, nous disposons de toutes les informations nécessaires sur les ressources naturelles. ».
Il précise également : « Même en cas d’incendie ou de feu de brousse, nous sommes capables, grâce au CSE, de localiser le sinistre, d’en mesurer l’ampleur, et de mobiliser les moyens adéquats pour y faire face. Ce projet a donc été un atout non seulement pour le CSE et le Sénégal, mais aussi pour les autres pays partenaires. ».
Enfin, il conclut : « Je tiens à remercier l’Union africaine et l’Union européenne, principaux bailleurs de ce projet, ainsi que les autres partenaires, structures étatiques, membres de la société civile et centres de recherche qui ont accompagné le CSE dans l’obtention de ces résultats. J’invite tous ces partenaires à continuer de soutenir cette initiative pour atteindre de nouveaux objectifs. »
Plus d'informations
- http://gdzhao.gmes.cse.sn/
- https://www.cse.sn/
[EN]
GDZHIAO: Space Innovation for Wetlands and African Communities
Key takeaways of the video:
- Benefits of wetlands: Food security, flood regulation, and income generation for local communities.
- Impact of the GDZHIAO project: Raising awareness, risk mapping, and leveraging spatial data to meet sustainable development goals and the Paris Agreement.
- Innovation and inclusion: Gender focus through clubs for young girls and transformative educational opportunities.
- CSE expertise: A key player recognised for natural resource management and support to technical and financial partners.
- Call for support: Gratitude to funders (AU, EU) and encouragement to continue their backing for sustainable results.
Transcription
In West Africa, wetlands offer many advantages: they provide a wide range of ecosystem services that contribute not only to food security but also to flood regulation.
Dr Cheik Mbow, Director of the Centre de Suivi Écologique in Senegal: "Wetlands in Senegal and West Africa are sites of critical importance for economic and social development. A wetland is, by definition, an area that concentrates natural resources and freshwater: these are zones of productivity but also zones of conservation."
Mr Amadou Lamine Guissé, Secretary-General of the Ministry of Environment, Ecological Transition, and Sustainable Development: "Wetlands are even a source of income for surrounding communities if they are well maintained and managed. This allows all the communities around them to engage in income-generating activities."
Dr Amadou Tidiane Ndiaye: "Thanks to GMES, the community has become aware of the importance of the Ronkh reserve, but more importantly, they have also begun managing and securing it while considering all aspects related to the environment." "This underscores the importance of the GDZHIAO project, implemented by GMES and Africa, to improve knowledge of West African wetlands and flood risks with a view to sustainable management," he adds.
Professor Cheik Mbow: "The GDZHIAO project was introduced with a spirit of openness and consolidation of efforts at all levels of African countries, bringing together hundreds of institutions to address Africa-specific challenges." "The GDZHIAO project is one of Africa's responses to Africa's problems, using spatial data and information derived from Earth observation," he states.
Dr Amadou Sall, Coordinator of the GDZHIAO Project: "This is an opportunity for me to highlight the excellent partnership and the remarkable work carried out by focal points in different countries, who work on the six pillars of the programme: data and infrastructure, services, political and institutional framework, human capital development, synergies and knowledge management, as well as awareness and adoption."
Lieutenant-Colonel Assane Ndoye, Head of the Wetlands Division at Senegal's Directorate of National Parks: "The great innovation lies in the focus on gender, with the formation of clubs to better raise awareness among young girls, starting at school, about scientific subjects and the management of Earth observation tools." "This initiative is highly appreciated, particularly by beneficiaries of programme scholarships, who have seen their lives transformed thanks to this opportunity," he adds.
Dr El Hadji Sow, a GMES and Africa programme scholar: "The ZMS Africa programme was very beneficial for me: it allowed me to complete my thesis in three years, from 2016 to 2019. I also benefited from capacity building, which led me to be recruited as a lecturer-researcher in the Geography Department at Gaston Berger University." "Despite this, the CSE retained me as an associate expert to support the implementation of the GDZHIAO project," he continues.
A GDZHIAO Master's scholar, Halima Idris, testifies: "This programme was very beneficial for me, and I am grateful for this incredible opportunity."
Mr Mohamed Alasse Sylla, Focal Point for Guinea, says: "As part of the implementation of this project, I was a communications expert for the Republic of Guinea. Through our field activities, the authorities decided to appoint me as the director of this institution." "To address the vulnerability of African populations to flood risks, the GDZHIAO project proposed a mapping system that makes it easier to identify the needs of populations in terms of solutions to this scourge, which costs our states dearly," he explains.
Professor Cheik Mbow: "Flooding is a major scourge for Africa. For the past 15 years, West Africa has been particularly affected, especially in urban areas." "Scientific information to characterise flood vulnerability has remained fragmented and incomplete. The GDZHIAO project provides a service based on Earth observation to meet the objectives of the African Union, Agenda 2063, the Sustainable Development Goals, and the Paris Agreement." "The GDZHIAO programme addresses the Paris Agreement objectives while considering the complexity of planning needs. It strives to solve these issues through the services developed for flood and wetland management in West Africa," he concludes.
Dr Ganye Agbaje, Director of CSSTE and Focal Point for Flood Services, emphasises: "Floods are very destructive and deeply affect lives and livelihoods. They need to be taken far more seriously than we currently do."
Recognised for its commitment to sustainable natural resource management and environmental conservation, the Centre de Suivi Écologique (CSE), leader of the GDZHIAO consortium, possesses undeniable expertise.
Stéphane Devaux, from the Cooperation Section of the European Union Delegation in Senegal, states: "We chose to collaborate with the CSE because of its expertise and competence, which have been unanimously recognised for over 25 years. This centre is a privileged partner of the administration as well as technical and financial partners working in fields such as food security, nutrition, and environmental issues like soil degradation caused by climate change. The CSE is therefore an essential actor."
Mr Amadou Lamine Guissé, Secretary-General of the Ministry of Environment, Ecological Transition, and Sustainable Development, adds: "At the national level, the results achieved by the CSE are undeniable. These are very significant results. Each time, the CSE provides us with a detailed report on the state of the environment in Senegal and the situation of natural resources. Thanks to their timely intervention and technical expertise, we have access to all the necessary information on natural resources." He also states: "Even in the event of a wildfire or bushfire, we are capable, thanks to the CSE, of locating the fire, measuring its extent, and mobilising appropriate resources to address it. This project has therefore been an asset not only for the CSE and Senegal but also for other partner countries." Finally, he concludes: "I want to thank the African Union and the European Union, the main funders of this project, as well as other partners, state structures, civil society members, and research centres that have supported the CSE in achieving these results. I invite all these partners to continue supporting this initiative to achieve new objectives."
More information
- http://gdzhao.gmes.cse.sn/
- https://www.cse.sn/
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